barbouilles, scribouilles & autres bidouilles - Tag - Lobsang SangayToutes les productions, barbouilles, scribouilles et autres bidouilles de Frédéric Baylot : BD : Zem, le moinillon qui veut être maître Zen, Lapis Lazuli, ce petit garçon en fuite dans l'himalaya, Pacôme Sweet Homme et le Pigeon qui discutent politique et société, mais aussi les articles Zen ceux sur la Joie ! et des tas d'autres choses sur la méditation, la non-violence, les BD, la solidarité, l'écologie, l'autogestion, le féminisme, le bouddhisme, le zen, la musique etc...2017-01-07T09:58:44+01:00urn:md5:cfe883556b5341ebbf674df96cef759bDotclearPour Pékin, le dalaï lama ne pourra revenir que s'il renonce à l'indépendance du Tibeturn:md5:7c2e212c43eab6166bc06c5fadc6f4fa2011-06-06T10:47:00+02:00frederic baylotTibetChineDalaï LamaLobsang SangayTibet<p><img src="http://fredericbaylot.blog.free.fr/public/agir/Tibet/dalailamatibet0606.jpg" alt="" style="margin-top: 0; margin-right: auto; margin-bottom: 0; margin-left: auto; display: block; " title="PD*2312622, juin 2011" /><h3><em><ins><a href="http://www.lemonde.fr/asie-pacifique/article/2011/05/19/pour-pekin-le-dalai-lama-ne-pourra-revenir-que-s-il-renonce-a-l-independance-du-tibet_1524151_3216.html">Via Le Monde</a></ins></em></h3>
</p><p><p>La "porte est ouverte" à un retour du dalaï lama, affirme Padma Choling, le président nommé par Pékin de la région autonome du Tibet. "S'il désire revenir, la porte vers la Chine est toujours ouverte", a déclaré, jeudi, M. Choling, livrant le premier commentaire d'un haut responsable depuis que le dalaï lama a annoncé renoncer à son rôle politique de chef du mouvement des Tibétains en exil, tout en conservant son rôle de chef spirituel.</p>
<p>"Si le dalaï lama se retire vraiment comme il l'a déclaré, s'il cesse ses activités séparatistes, s'il arrête de perturber la stabilité du Tibet et s'il se concentre vraiment sur le bouddhisme, alors cela sera positif pour le Tibet", a-t-il ajouté. "Le point crucial est s'il renonce vraiment à l'indépendance du Tibet", a poursuivi M. Choling. Le dalaï lama a abandonné ses exigences initiales d'indépendance pour sa terre natale et parle maintenant d'une "large autonomie". Mais Pékin l'accuse de prôner le séparatisme et lui demande régulièrement d'abandonner définitivement toute aspiration à l'indépendance.</p>
</p> <p><br class="Apple-interchange-newline">Le mois dernier, les Tibétains en exil ont élu leur nouveau premier ministre, Lobsang Sangay, un juriste de 43 ans qui aura la tâche d'assumer le rôle politique incarné depuis des décennies par le dalaï lama. Après l'échec d'un soulèvement contre la présence chinoise à Lhassa en 1959, le dalaï lama avait trouvé refuge à Dharamsala, en Inde, où siègent le gouvernement et le Parlement tibétains en exil. La Chine, qui affirme avoir "libéré pacifiquement" le Tibet en 1951, contrôle encore plus étroitement cette région autonome et les provinces limitrophes à population tibétaine depuis les émeutes antichinoises de 2008. Les Tibétains se plaignent d'une répression implacable par les autorités chinoises.</p>
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<!-- AddThis Button END -->Lobsang Sangayurn:md5:9ef4afaf8ce8e8022200f3dc8ff2c7702011-06-02T09:02:00+02:00frederic baylotTibetDalaï LamaLobsang SangayTibetélection<p><img src="http://fredericbaylot.blog.free.fr/public/agir/Tibet/Lobsang_Sangay-0206.jpg" alt="" style="margin-top: 0; margin-right: auto; margin-bottom: 0; margin-left: auto; display: block; " title="INDIEN WAHLEN REGIERUNG, juin 2011" /><h3><em><ins><a href="http://www.rfi.fr/asie-pacifique/20110427-lobsang-sangay-devient-le-chef-politique-tibetains-exil">Via RFI</a></ins></em></h3>
<p>Lobsang Sangay devient le chef politique des Tibétains en exil</p>
<p>Le gouvernement tibétain en exil a un nouveau « Kalon Tripa », un Premier ministre. Lobsang Sangay a été élu, mercedi 27 avril 2011, par la diaspora tibétaine. Avec 55% des voix, il bat, dès le premier tour, ses deux adversaires. L'élection de ce juriste de 43 ans, spécialisé en droit international, marque peut-être le début d'une nouvelle phase pour le mouvement tibétain.</p>
</p> <p>La mission qui attend Lobsang Sangay est loin d'être aisée. Né en Inde, dans le Darjeeling, il n'a jamais posé le pied sur le sol tibétain mais est appelé à devenir le véritable chef politique de la communauté.</p>
<p>Le Dalaï Lama, âgé de 75 ans, a en effet annoncé, le mois dernier, son désir de voir lui succéder une personnalité jeune et élue afin qu'il puisse se concentrer sur ses fonctions religieuses.</p>
<p>Lobsang Sangay incarne une nouvelle génération qui n'a jamais connu le Tibet avant l'invasion chinoise, et dont les préoccupations sont bien différentes de celles de ses aînés.</p>
<p>Lorsqu’il était étudiant à Harvard, Lobsang Sangay était partisan de l'indépendance du Tibet. Mais celui qui s'était présenté comme « le Barack Obama de la Chine », s'est converti à une ligne plus conciliante avec Pékin, souhaitant une autonomie du Tibet et une intégration des Tibétains dans la société et le système politique chinois.</p>
<p>La capacité de Lobsang Sangay à l'écoute et au dialogue est reconnue. Elle sera son arme principale pour faire avancer la cause tibétaine. Mais il lui faudra surtout gagner une légitimité et une reconnaissance internationale, indispensable pour porter un combat que les défenseurs de cette cause craignent de voir tomber dans l'oubli à la mort du Dalaï Lama.</p>
<p>Lobsang Sangay prendra ses fonctions de Premier ministre au mois d'août 2011. Le Dalaï Lama reste le chef spirituel des Tibétains.</p>
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<h3><em><ins><a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Lobsang_Sangay">Via WIKIPEDIA</a></ins></em></h3>
<p>Lobsang Sangay né en 1968 à Darjeeling est un juriste tibétain, ainsi qu'un expert spécialiste du Tibet, et du droit international relatif aux droits de l'homme. En 2011, il a été élu au suffrage universel premier ministre du gouvernement tibétain en exil, basé à Dharamsala en Inde.</p>
<h2>Education</h2>
<p>Lobsang Sangay a reçu une éducation à l'école secondaire des réfugiés tibétains de Darjeeling. Il a obtenu son Bachelor of Laws et son Baccalauréat en arts de l'Université de Delhi en Inde. En 2004, il a reçu le Prix d'Excellence Yong K. Kim' 95 pour sa Thèse de même qu'une bourse Fulbright pour poursuivre ses études à la Faculté de droit de Harvard. Lobsang Sangay a obtenu son Doctorat en droit, et Master of Laws de l'université Harvard. Il a été chargé de recherche du East Asian Legal Studies Program à la Faculté de droit de Harvard.</p>
<p>Le Dr. Lobsang Sangay a organisé cinq conférences entre des lettrés chinois et tibétains, y compris une rencontre entre le dalaï-lama et 35 lettrés chinois à l'université Harvard en 2003.</p>
<h2>Activité politique</h2>
<p>Lobsang Sangay a été élu en 1992 membre du comité exécutif du congrès de la jeunesse tibétaine, le 27 avril 2011 il a été proclamé par la commission électorale premier ministre du gouvernement tibétain en exil1, ayant remporté les élections du 20 mars avec le 55 % des voix exprimées par les votants enregistrés parmi la communauté tibétaine en exil dans 30 pays du monde entier. Les deux autres candidats étaient Tenzin Namgyal Tethong, diplômé de Standford University, représentant du dalaï-lama à New York entre 1973 et 1986 et son représentant spécial à Washington entre 1987 et 1990 ainsi que premier ministre du gouvernement tibétain de 1993 à 1996, et Tashi Wangdi, qui a été représentant tibétain à Bruxelles, New Delhi et New York. Tenzin Namgyal Tethong a obtenu 37,4% des voix, tandis que Tashi Wangdi, qui avait été ministre du gouvernement tibétain en exil une dizaine de fois dans les dernières années, n'a obtenu que le 6,4%2. Lobsang Sangay succède à Samdhong Rinpoché.</p>
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<p><strong><em>Pour info il est amusant de voir que la Chine, ou les médias qui relayent volontairement ou non son message, cherchent à rabaisser Lobsang Sangay en disant qu'il n'a jamais mis les pieds au Tibet. Mais à qui la faute si toute une diaspora tibétaine n'a jamais mis les pieds au Tibet ??? Son programme n'est il pas justement que ce peuple puisse retrouver sa terre d'origine dans des conditions humaines ?</em></strong></p>