barbouilles, scribouilles & autres bidouilles - Tag - détente
Toutes les productions, barbouilles, scribouilles et autres bidouilles de Frédéric Baylot : BD : Zem, le moinillon qui veut être maître Zen, Lapis Lazuli, ce petit garçon en fuite dans l'himalaya, Pacôme Sweet Homme et le Pigeon qui discutent politique et société, mais aussi les articles Zen ceux sur la Joie ! et des tas d'autres choses sur la méditation, la non-violence, les BD, la solidarité, l'écologie, l'autogestion, le féminisme, le bouddhisme, le zen, la musique etc...
2017-01-07T09:58:44+01:00
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Dotclear
Ça-crée en moi
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2011-10-17T23:01:00+02:00
frederic baylot
Relax
bien êtredétenterelaxationspaweek end
<p><img src="http://fredericbaylot.blog.free.fr/public/JOIE/relax/99-2011/75laure-manaudou.jpg" alt="" style="margin-top: 0; margin-right: auto; margin-bottom: 0; margin-left: auto; display: block; " title="75laure-manaudou.jpg, oct. 2011" /></p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 12px; "><strong>Ça tend en moi</strong></p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 12px; ">Atteindre son but ne rend pas nécessairement heureux, c’est parfois tout le contraire. Pensons à ces cas, plus fréquents qu’on ne le dit, où une réussite longtemps et ardemment désirée plonge son bénéficiaire dans une profonde dépression. En outre, quand le bonheur est néanmoins au rendez-vous, celui-ci dure étrangement peu longtemps. Ainsi que l’avoue Laure Manaudou : « comme tous les nageurs, je suis à la recherche de la petite seconde de bonheur quand on gagne » - tous ces sacrifices pour une seule seconde ! C’est pourquoi, sitôt une réussite obtenue, sans prendre la peine de savourer le bien acquis, nous voilà très vite inquiet d’un nouvel objectif.</p> <p style="margin-top: 0.21cm; line-height: 100%">Pourquoi vouloir
atteindre un but ? Pour faire coïncider notre désir et la
réalité ; mais lorsque ceux-ci se rejoignent enfin, nous nous
empressons de creuser entre eux un nouveau fossé. . . Pour expliquer
ce paradoxe qui nous interdit le bonheur, il est utile de comprendre
à quoi est réellement dû le moment de bien-être qui suit un
succès. À la possession de l’objet de ma quête (un bien, un
amour, une médaille, un succès...) ? Ou plutôt au fait que,
durant quelques instants, je m’autorise à ne plus tendre vers rien
- au fait qu’enfin je me détends. Le bonheur, vérité trop
élémentaire pour que nous l’apercevions la plupart du temps, ne
serait-ce pas simplement d’être dé-tendu, et de jouir de la pure
jubilation d’être ?</p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 100%">
D’où notre
impasse : pour atteindre cet état de détente intérieure qui
est notre véritable aspiration, nous ne cessons de nous tendre (vers
des buts), causant ainsi une souffrance dont l’absurde formule est
la suivante : je me tends pour atteindre la détente. Si nous
sommes ainsi possédés par Ça-tend, c’est que « se
contenter d’être », comme disait Etty Hillesum, nous fait
aussi terriblement peur. Si je me relaxe vraiment, est-ce que je ne
risque pas de disparaître ? La détente profonde est
accompagnée d’une perte du sens de l’ego et cette expérience de
spatialité lumineuse, tellement libératrice et que nous désirons
tant, nous terrorise. C’est pourquoi, fréquemment, nous ne
convoitons pas réellement l’objet de notre quête, mais plutôt le
bénéfice que celle-ci nous offre de demeurer tendus.</p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 100%">
Soit, dira-t-on ;
mais si je ne tends plus vers rien, qu’est-ce qui va me faire
agir ? Le moteur de l’action, n’est-ce pas précisément de
tendre vers un objectif ? Tellement habitués à agir tendus,
nous avons fini par confondre détente et inertie. Or la véritable
détente intérieure est une détente vers l’intérieur, laquelle
nous reconduit à notre dimension profonde, à notre désir vrai. Et
ce dernier est un autre moteur. Non la source du faire compulsif qui
n’est qu’une fuite de soi, mais celle de l’acte spontané
juste ; enraciné dans notre vérité vivante et ajusté à la
mouvance des choses, porteur de grâce et porté par la grâce,
celui-ci est réellement fécond parce qu’il est créateur.</p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 100%">
Quand je ne suis
plus possédé par Ça-tend, je suis le lieu du Ça-crée.</p>
<p style="margin-top: 0.49cm; margin-bottom: 0.49cm; line-height: 100%">
© Denis Marquet</p>
<p style="margin-top: 0.21cm; line-height: 12px; "><strong>Denis Marquet Magazine Nouvelles clés</strong></p>
<div><strong><br /></strong></div>
bailler...
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2011-06-12T22:35:00+02:00
frederic baylot
Energie
baillerdétenterelaxationrespirationstress
<p><img src="http://fredericbaylot.blog.free.fr/public/Sante/energie/99-2011/0612baille.jpg" alt="" style="margin-top: 0; margin-right: auto; margin-bottom: 0; margin-left: auto; display: block; " title="0612baille.jpg, juin 2011" />
</p>
<h3><a href="http://www.psychologies.com/Bien-etre/Prevention/Hygiene-de-vie/Articles-et-Dossiers/Le-bon-geste-bailler-toute-la-journee">VIA Psychologies</a></h3>
<h4>Le bon geste : bâiller toute la journée</h4>
<p>Interdit de bâiller ? Au contraire ! Cette respiration involontaire détend les muscles du visage, mais aussi tout l’organisme. C’est un excellent moyen pour échapper au stress.</p>
<p><em>par Marie-Anne Garcia Bour</em></p>
<p>Bâiller n’est jamais anodin. Cette envie irrépressible d’écarter les mâchoires pour prendre une grande inspiration est un signal important qu’il convient d’écouter attentivement. Notre corps exprime ainsi le besoin d’un changement de rythme, un désir de nourriture, de détente, de sommeil, et il nous le fait savoir plus ou moins bruyamment ! Et pas seulement avant d’aller dormir.</p> <p>Au cours de la journée aussi, il est nécessaire de relâcher la pression. Le bâillement nous permet de revenir de façon quasi instantanée à un état de détente nerveuse. Il est d’ailleurs possible et recommandé de le provoquer, il suffit d’un peu d’entraînement : un large appel d’air, puis un temps d’apnée qui maintient notre diaphragme étiré et nos poumons grands ouverts. Le relâchement arrive d’un coup et, avec lui, une profonde sensation de bien-être.</p>
<p>Ce geste traduit une reprise de pouvoir de notre système parasympathique, partie de notre système nerveux qui contrôle nos activités involontaires (organes, etc.). Pour nous détendre et récupérer, nous devons le solliciter régulièrement. En revanche, il est bon de mettre en sourdine son pendant, le système sympathique ou orthosympathique, qui active notre corps, nous obligeant à demeurer perpétuellement sur le qui-vive, prêt à réagir aux émotions et aux soucis. Le bâillement interrompt soudainement cet enchaînement, intimant ainsi à notre organisme tout entier de se relaxer. « En s’étirant, la coupole du diaphragme thoracique étire simultanément les deux autres coupoles auxquelles elle est reliée, détendant le crâne et le plancher pelvien », explique Guy Boitout, ostéopathe. Via les fascias, qui entourent les muscles, la relaxation gagne le système musculo-articulaire et rééquilibre la tension de l’enveloppe du cerveau et de la moelle épinière. Le lâcher-prise est garanti. Bâillons et accueillons nos bâillements sans complexes ! Provoquons-les à chaque fois qu’il est nécessaire de faire face aux coups de stress, aux émotions fortes ou aux réunions difficiles. Sans oublier de les associer à l’étirement de tout le corps, avant de nous endormir, ou le matin au réveil.</p>
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Comment être rassuré, sans attendre d’être parfait !
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2011-06-10T11:52:00+02:00
frederic baylot
Dharma
agirbodhisattvacompétenceconfiancedieudélivrancedétenteegojoiemondequalitérassurerrayonnersouriresécuritétantrismevacuitévoeu
<p><img src="http://fredericbaylot.blog.free.fr/public/Dharma/99-2011/0610corpsdelumiere.jpg" alt="" style="margin-top: 0; margin-right: auto; margin-bottom: 0; margin-left: auto; display: block; " title="0610corpsdelumiere.jpg, juin 2011" />Il y a 5 ans sur mon blog Lung Ta Zen (chez Free.fr , n'est plus actif) j'écrivais un court texte (extraits en gras ci-dessous) sur "être pleinement" (soi).</p>
<p>Le titre fait référence au statut de bodhisattva. A partir du moment où nous prenons les voeux de bodhisattva, nous n'attendons pas d'être un bodhisattva pour agir dans le monde pour faire diminuer la souffrance, dès le début nous commençons à agir.</p> <p><p>Mais comment faire quand on se sent en insécurité, stressé, en manque de confiance en soi, pour agir malgré tout ?</p>
<p><strong>Dans le bouddhisme tantrique nous utilisons des pratiques de visualisation qui vont jusqu’à se visualiser en tant que déité </strong>(dans le bouddhisme tantrique, ce qu'on nomme <déité> n'est pas un <dieu> au sens religieux, mais plutôt un <a href="http://fr.wikipedia.org/wiki/Arch%C3%A9type_(psychologie_analytique)">archétype au sens jungien</a>) <strong>, pour nous permettre de nous révéler cette partie divine, le Soi, qui est en nous </strong>(là encore le mot <divine> n'est pas lié à une notion de dieu, mais une notion de <a href="http://lejardindelavisionpure.wordpress.com/2011/04/17/maha-la-grandeur/">globalité</a>, d'ensemble systèmique auquel nous appartenons & nous participons, dans une inter-relation réciproque & le <Soi> n'est pas une <âme> autonome mais la mise en oeuvre de cette notion de globalité)<strong>. </strong></p>
<p><strong>L’objectif n’est pas de renforcer l’ego (c’est pourquoi ensuite nous faisons la dissolution de cette visualisation) mais de sentir ce contact chaleureux et fort avec cette part « intacte » de nous. </strong></p>
<p><strong>Ensuite cela transparaît dans la vie quotidienne, par une façon de « rayonner », de sourire, d’être radieux et détendu, car rassuré sur nos compétences et qualités intrinsèques. </strong></p>
</p>
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