barbouilles, scribouilles & autres bidouilles

Aller au contenu | Aller au menu | Aller à la recherche

samedi, septembre 10 2011

Ma part du gâteau

Dunkerque. France (Karin Viard), une ouvrière, une mère de famille vit avec ses trois filles. Elle apprend la fermeture de son usine suite à une délocalisation et à une vague procédure de licenciement. Elle se retrouve au chômage comme la plupart de ses collègues après de longues années d’ancienneté. Elle est désemparée, son état de santé, sa fragilité ne cachent pas son inquiétude dans cette société française en perte de vitesse. Par solitude ou par colère, elle décide de s’envoler pour la capitale. Très vite, elle trouve un stage pour devenir une femme de ménage et rencontre son nouvel employeur qui vit dans un monde radicalement différent du sien. Cet homme, Steve (sous les traits de Gilles Lellouche) est un jeune trader réputé travaillant entre la City de Londres et le quartier de la Défense à Paris. Les deux individus vont se côtoyer, leur relation va se révéler comme une épreuve tantôt attachante tantôt affligeante. Comment vont t’ils s’entraider dans une société qui les oppose et les unit ?

Lire la suite...

jeudi, septembre 8 2011

Une histoire vraie

Ce soir sur Arte (Canal 7)

Lire la suite...

jeudi, juin 16 2011

Le cinéma d'Audiard

Lire la suite...

lundi, mai 30 2011

La Belle verte

De l’Hymne de la Décroissance à la Conscience Globale

VIA L'ESPACE ARC EN CIEL

La Belle Verte est un film de Coline Serreau qui est sortit au cinéma en 1996 et qui est devenu au fil des années la référence pour un nombre croissant d’anti-mondialiste et adepte de la décroissance. Synopsis : L’histoire débute sur une planète lointaine (la planète verte) habitée par une civilisation évoluée et égalitaire, vivant en parfaite harmonie avec la nature dans des paysages immaculés, et qui pratiquent certaines disciplines comme la télépathie. Lors d’une réunion du conseil planétaire, les habitants font le constat que cela fait 200 ans au moins qu’aucun volontaire ne s’est désigné pour visiter la Terre, au contraire d’autres planètes, qui déchaînent un enthousiasme très largement supérieur. Cherchant à en connaître les raisons, et profitant de l’expérience d’Osam, le dernier à s’y être aventuré, à l’époque napoléonienne, ils font le constat que la Terre abrite encore probablement une civilisation arriérée caractérisée par les inégalités sociales, le racisme, la monnaie, etc., une situation que l’avènement de la révolution industrielle n’a pu que faire empirer. On y apprend ainsi que sur la planète verte il y a eu également une époque industrielle avec des biens de consommation, mais cette époque est désormais tellement révolue qu’elle ne s’étudie qu’en cours d’archéologie. Les habitants sont d’avis qu’en déconnectant certains Terriens ils pourront aider cette civilisation à progresser plus rapidement.

Lire la suite...