barbouilles, scribouilles & autres bidouilles

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BD › Ma bibliothèque de BD

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mercredi, novembre 30 2011

Kia ora

Kia ora est une salutation de la langue maori qui est entrée dans l'anglais néo-zélandais. Il signifie littéralement "portez vous bien/avec santé" et est traduit par un informel "Salut".

C'est ici le titre d'une BD en 3 tomes au sujet original et à la réalisation très agréable. Cela se passe dans les années 1910 en Nouvelle-Zélande. A une époque, déjà difficile économiquement, le chômage, la précarité régnant (cela ne vous rappelle rien ?) une famille Maori va partir en Grande Bretagne sous la houlette d'un anglais, pour participer à un spectacle plus exotique que floklorique.  Des espoirs de revenir avec de l'argent, mais pas mal de désenchantement, entre autre en passant d'un zoo (!) à un cirque avec des "monstres" (la BD commence d'ailleurs sur des enfants qui se traitent de monstre, et toute l'histoire nous montrera que les monstres ne sont pas ceux que l'on pense à priori). 

Kia Ora

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mardi, novembre 29 2011

Philémon, l'intégrale par Fred

Une BD qui a commencé à paraître dans les années 60, pleine de folie, d'humour absurde, de poésie et d'aventure. De superbes dessins, un découpage très original pour l'époque, digne de Nemo.

Philémon vivra ses aventures sur les lettres de "OCEAN ATLANTIQUE" d'une mappemonde. Chaque lettre est une métaphore de différents états, lieux, véritable critique sociale toujours d'actualité. 

Un beau cadeau pour noël.

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mardi, novembre 8 2011

KHETI, fils du Nil

Kheti et Mayt les deux enfants de cette BD, sont "aimés des dieux". Ils peuvent passer à travers des portes secrètes qui mènent dans l'autre monde. Ils y développent leur courage et d'autres qualités et nous permettent de découvrir l’Égypte ancienne d'une manière très ludique.

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Yakari

Yakari c'est une BD pour les enfants, que je trouve très belle pour les adultes aussi. Elle existe depuis longtemps et est maintenant bien connue depuis qu'il y a le dessin animé à la TV (qui fait perdre beaucoup de qualités à la série je trouve)

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mercredi, octobre 26 2011

Nous ne serons jamais des héros

Nous ne serons jamais des héros par  Frédérik Salsedo, Olivier Jouvray et Greg Salsedo.

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jeudi, octobre 20 2011

Les âmes sombres

Une belle BD qui nous amène dans le quotidien de SDF et de personnes âgées

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mardi, octobre 18 2011

L'amour triomphe toujours

L'amour triomphe toujours de Voutch, digne de Sempé, un humour désabusé, qui peut être parfois peut nous ramener à certaines situations ;)

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samedi, septembre 10 2011

Un privé à la cambrousse

Nestor Burma des campagnes, le paquet de Gris remplaçant la pipe, Bruno Heitz, avec un dessin entre Alain de Saint-Ogan et Gégé, fait mener à son héros des enquêtes dans le quotidien des campagnes des années 50.

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samedi, juillet 2 2011

Le chat du Rabbin

De droite à gauche (en fait merci la médiathèque municipale) j'avais lu des albums du Chat du Rabbin. Je ne suis pas fana du dessin de Sfar, qui malgré tout est talentueux, mais cela ne me plait pas trop. Mais je trouve que le chat du Rabbin est encore ce qui est le plus sympa à mon goût. Suite à la sortie du dessin animé Dargaud sort une intégrale, alors je me la suis offerte. L'histoire est un peu confuse mais finalement on se laisse porter par l'ambiance et ce n'est pas trop gênant. Cette ambiance c'est la culture juive Séfarade (donc d'Afrique du nord) du début XX° (avant la Shoah qui toucha principalement les juifs ashkenaze, mais même en en « souffrant moins » l'horreur reste l'horreur.). Le rabbin et sa fille sont très touchants, très humains, lui avec ses doutes, est un vrai sage. On sent monter l'antisémitisme qui trouvera son apogée avec le nazisme. 

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mardi, mai 10 2011

Dieu n'a pas réponse à tout mais IL est bien entouré

Dieu n'a pas réponse à tout mais IL est bien entouré

Scénario : Benacquista, Tonino

Dessin : Barral, Nicolas

Couleurs : Delf

Editeur : Dargaud


Dieu fait ce qu’il peut pour aider les hommes en difficulté ou ceux qui défendent une juste cause. Mais Dieu, parfois, est en proie au doute, et ne sait comment résoudre leurs problèmes. Il peut alors faire appel, au paradis ou au purgatoire, à celui qui saura lui donner un coup de main. Et c’est ainsi que Sigmund Freud, Mozart, Marilyn Monroe et bien d’autres vont être envoyés par le Seigneur en mission spéciale sur Terre.


Six histoires courtes, drôles et délicieuses, dues aux talents conjugués de Tonino Benacquista, l’auteur des best-sellers Saga et Malavita, et de Nicolas Barral, qui avait déjà dessiné Philip et Francis.  (coin BD)

jeudi, avril 28 2011

La Rose et la croix

La Rose et la croix

Scénario : Jarry, Nicolas

Dessin : Critone, Luigi

Couleurs : Pieri, Lorenzo

ed Soleil Productions 

À quatorze ans, Johann Friedrich est fasciné par l’alchimie. Initié par son grand-père, il découvre les prémices du pouvoir de la transmutation du métal en or… pour un bref instant seulement.

Sous la tutelle de Hans, Johann prend la route de Berlin pour entrer en apprentissage. Lors d’une halte, le jeune garçon disparaît brutalement, enlevé par des hommes en noirs, membres d’une confrérie obscure. Mais qui sont-ils ? Et que veulent-ils de Johann ? Un seul indice, la description d’une bague à la réputation bien mystérieuse : un cercle surmonté d’une croix.

Spirou

Spirou

créateur : Rob-Vel

quelques dessinateurs entre autres :

- Rob-Vel

- Jijé

- Franquin

- Fournier

- Tome et Janry

- Tarrin

- Émile Bravo

- Olivier Schwartz

J'aime particulièrement différentes époques :

- la période des débuts de la reprise de Franquin (Le Tank, La Maison préfabriquée, Radar le robot,Spirou sur le ring ...)

- La période du Z (Le Nid des Marsupilamis, La Foire aux gangsters, Le Prisonnier du Bouddha, Z comme Zorglub, L'Ombre du Z)

- Les derniers albums de Franquin (QRN sur Bretzelburg, Bravo les Brothers, Panade à Champignac)

- des album de Fournier (Tora Torapa, Le Gri-gri du Niokolo-Koba, Du cidre pour les étoiles, L'Ankou)

- Les album de Tome et Janry (Aventure en Australie, Spirou à New-York, La Frousse aux trousses, La Vallée des bannis, Spirou à Moscou, Vito la Déveine, Luna fatale)

- L'album de Tarrin (Le Tombeau des Champignac)

- L'album de Émile Bravo (Le Journal d'un ingénu)

- L'album de Olivier Schwartz (Le Groom vert-de-gris)

... à suivre

Airbone 44

Airborne 44

Auteur :  Philippe Jarbinet

Ed Casterman

La réalité de la barbarie nazie jaillit du passé sur le papier photo, appuyée par la force d’un récit minutieux qui ne laisse aucune place au doute. Pour Gabrielle, Luther et Casmir, la guerre prend alors un sens dont peu de gens, à l’Ouest, avaient pris conscience. 

Et pour cause… La directive 1005 émanant du Reichsführer Himmler en personne exigeait que toute trace des massacres perpétrés à l’encontre des Juifs sur le front de l’Est soit impitoyablement traquée et effacée. Personne ne devait savoir… 

Sur le terrain, Himmler faillit réussir. 

Dans les mémoires, il en allait tout autrement.

Egon Kellerman et Jakob Osterlin, pauvres « malgré nous » enrôlés de force au début de la guerre, font partie de ces mémoires en fuite. Malheureusement, la connaissance a un prix. Dans le village de Gabrielle, le commando SS a fini par apprendre l’existence de cette dernière. 

La chasse est lancée. 

Elle ne pourra se terminer que par la mort de ceux qui savent.

Le destin, là encore, va choisir ses victimes.

Demain sera sans nous, certes, mais à partir de quand ? 

C’est aujourd’hui que tout se joue. 

Si la parole peut survivre à la mort, alors demain pourra parler à jamais.

Philippe Jarbinet nous livre un solide récit d’action et un vrai suspense, tout en dressant le portrait intimiste d’une passion inattendue entre un soldat américain et une jeune européenne au cœur de l’une des pires batailles de la Seconde Guerre mondiale. L’omniprésence du danger exacerbe les sentiments et les intérêts, poussant chacun à faire des choix cornéliens qui ne devraient pas être faits en temps de paix. Car une chose est sûre : la guerre ne pardonne aucune erreur et ne fait pas de quartier. Sans avoir l’air d’y toucher et en faisant preuve d’une irréprochable précision dans le moindre détail, Philippe Jarbinet nous entraîne sur les traces d’un pan de l’Histoire qui ne doit jamais tomber dans l’oubli.

Lincoln

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Le coeur des batailles

Le coeur des batailles

Scénario : Morvan, Jean-David

Dessin : Kordey, Igor

Couleurs : Walter

Editeur : Delcourt

1940. Marvin Selcap, jeune journaliste américain fait l’acquisition, un peu par hasard, d’un lot de vieux magazines rédigés pendant la guerre des tranchées par un certain Blaise Boforlant. Celui-ci fût soldat de première classe avant de devenir avec le temps un intellectuel de renom. L’edito de ce journal du front, intitulé « Le cœur des batailles », va se focaliser sur Amaréo Zamaï, un soldat atypique, tant par son physique que par son comportement. Passionné et intrigué par ce "mythe ou réalité" des tranchées, Marvin traverse l’Atlantique pour rencontrer celui qui a écrit ces textes. 

Les soviétiques ont eu Stakhanov. Pour les poilus, ou plutôt « les bonshommes », ce sera Amaréo Zamaï, tout du moins pour ceux qui auront côtoyé Boforlant. Cette base semble devoir servir de fil d’Ariane à un triptyque dont ce premier tome intitulé La Marne se pose clairement en album d’introduction, à tel point qu’il peine à démarrer. Outre le fait que son organisation repose sur un savant mélange des époques, la tendance générale pèche par un survol de thématiques sensibles (racisme, homosexualité, ...) dans un contexte bien particulier. Or, sous ce format classique et somme toute court, il n’est pas aisé de développer tant d’idées sans se fourvoyer, le travers étant d’évoquer tel ou tel propos en appuyant un peu trop dessus pour que ce soit anodin et en passant toutefois à côté. L’alternance de dialogues avec la variation des narrateurs ne vient pas atténuer cette impression globale de désordre. C’est dommage car la dernière partie, qui lance réellement l’intrigue, ne nécessitait sans doute pas la totalité de ces digressions. La question demeure : était-ce là que Jean David Morvan voulait aller ?

Le dessin et la mise en couleur n’amènent pas de plus substantiel, voire même parachèvent ce sentiment d’ensemble diffus. L’impression d’arrêt sur image revient régulièrement avec des poses statiques surmontées de visages figés dans des expressions pour le moins étranges. Le décor et les arrière-plans sont pour leur part réduits à peau de chagrin si l’on excepte les rares scènes propres au domaine de la guerre, où Igor Kordey semble enfin dans son élément et parvient à faire partager son plaisir. Il donne alors pleine la mesure de son talent pour mettre en images des paysages d’apocalypse.

Il est donc fortement probable que le lecteur soit dubitatif à la fin de sa lecture, tant le scénariste semble hésitant quant au sens profond à donner à cette série. La suite devra apporter plus de précisions

Usagi Yojimbo

Usagi Yojimbo

Stan Sakai

Ed Paquet

Les aventures de ce lapin samouraï se déroulent au Japon au début de la période Edo (début du xviie siècle). Les humains sont représentés par des animaux. Le héros est un rōnin, Miyamoto Usagi, qui parcourt le pays en shogyusha (pèlerinage guerrier), monnayant parfois ses services de garde du corps. Il a été formé par Sensei Katsuichi qui lui a enseigné plus une philosophie proche du zen que simplement l’art de manier l’épée.

20 tomes, en cours