Le présent, un cadeau à (se) faire
Dans un précédent texte je rappelais que le « job du bodhisattva » c’est agir pour la vie en s'ouvrant à notre prochain dans toutes les facettes de notre vie. Mais cela se concrétise auss...
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dimanche, décembre 4 2011
Par frederic baylot le dimanche, décembre 4 2011, 23:26 - Dharma
Le présent, un cadeau à (se) faire
Dans un précédent texte je rappelais que le « job du bodhisattva » c’est agir pour la vie en s'ouvrant à notre prochain dans toutes les facettes de notre vie. Mais cela se concrétise auss...
mercredi, novembre 23 2011
Par frederic baylot le mercredi, novembre 23 2011, 05:30 - Agir
Le renoncement ne peut être soumission, mais renoncement à être ailleurs que dans le présent. Renoncer à agir en s’accrochant à un futur non arrivé ou en cherchant à fuir un passé qui n’existe plus.
Eric Rommeluère dans son livre « Le bouddhisme n’existe pas » parle comme déjà dit ici d’un renoncement à SES PEURS, celles qui justement nous empêchent de nous engager concrètement, et nous font soumis.On le verra dans le livre suivant d’Eric Rommeluère à paraître pour début 2013, ce renoncement ne peut que nous amener à nous engager dans le monde. Dans l'article « Le job de disciple du bouddha » je parle de la voie du bodhisattva comme une voie de l’engagement par une ouverture au monde, aux êtres vivants, à la vie en général. Cette ouverture se lie avec l’amour du prochain et à l’écoute de sa souffrance. C’est le dialogue que nous sommes capables de construire ensemble qui nous rend humain et nous amène à agir.
dimanche, novembre 20 2011
Par frederic baylot le dimanche, novembre 20 2011, 07:27 - Zen
lundi, novembre 14 2011
Par frederic baylot le lundi, novembre 14 2011, 12:17 - Dharma
jeudi, novembre 3 2011
Par frederic baylot le jeudi, novembre 3 2011, 01:32 - Dharma
Eric Rommeluère a une façon très claire et simple de présenter oralement le dharma et qui est à la fois ni simpliste, ni facile à entendre. En effet elle demande d'accepter de sortir de notre zone de confort et de nous remettre en cause. Thomas d'Ansembourg titre d'ailleurs un de ses livres sur la Communication non-violente : « Être heureux ce n'est pas nécessairement confortable ». Et justment l'écoute du dharma nous amène à sortir de nos différentes stratégies existentielles de fuite.
L'écriture d'Éric Rommeluère reflète cette façon orale de transmettre le dharma, d'une manière encore plus ciselée pour offrir une lecture toujours plus fluide. Les chapitres sont courts et précis et en même temps il y a comme une montée en puissance symbolisée par le nombre de pages par chapitre qui va crescendo, jusqu'à nous parler du bouddhisme, différent du dharma , de l'herméneutique, du Bouddha et principalement du courant du bouddhisme agnostique point d'orgue de sa démonstration, pour finalement revenir à des chapitres plus courts.
lundi, septembre 19 2011
Par frederic baylot le lundi, septembre 19 2011, 11:59 - Méditation
Pratiquer le zen consiste à (re-)découvrir une grande simplicité intérieure. Nous sommes parfois accablés comme si les choses, les êtres nous écrasaient et nous y répondons par l’émotion ou par l’agression. Notre simplicité fondamentale est mise à mal, nous sommes écartelés, brisés et nous ne pouvons apprécier et jouir de la beauté de la vie. Méditer permet d’accéder (ou de revenir) à cette simplicité. Pendant la méditation, l’esprit se simplifie, nos problèmes demeurent, mais ils nous assaillent un peu moins.
dimanche, juin 12 2011
Par frederic baylot le dimanche, juin 12 2011, 18:49
Premier enseignement donné directement dans le Sûtra du coeur, la réponsequ’Avalokiteshvara présente à Shariputra est concise pour commencer, puis sera développée en plus grands détails (1) : Cette méditation profonde permet de voir qu’il n’y a pas d’existence intrinsèque pour l’individu et ce qui le compose (les 5 agrégats).La profonde prajñâ pâramitâ
Il voit que les cinq agrégats sont tous vides
dimanche, mai 29 2011
Par frederic baylot le dimanche, mai 29 2011, 04:10 - Sûtra du Coeur
Le Sûtra du coeur commence par nommer un personnage, il s’agit du « Maître en contemplation »
C’est Avalokiteshvara. Avalokitesh, veut dire « celui qui regarde vers le bas, qui écoute la souffrance des êtres » et svara c’est « le dieu créateur, le Seigneur ». (dans les enseignements occulte hindous et yoguiques, svara est le « courant de la vague de vie » , « Les Forces Subtiles de la Nature » ). On peut donc traduire par Celui qui maîtrise la contemplation. » (1) On pourrait aussi dire celui qui regarde le courant de la vie, comment le regarde-t-il ? Par la contemplation, la méditation.
mardi, mai 10 2011
Par frederic baylot le mardi, mai 10 2011, 22:40 - Dharma
lundi, mai 9 2011
Par frederic baylot le lundi, mai 9 2011, 00:35 - Zem
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Bodhisattva est un terme sanscrit qui veut dire « être de l’éveil » que l’on traduit aussi par « Héros pour l’éveil ». Eric Rommeluère parle de « Disciple de la Grandeur« . En effet le bodhisattva agit dans l’humilité et le dépouillement pour toucher la grandeur de la vie, c’est pourquoi le don (au delà du don matériel, il s’agit aussi du don de son temps par exemple), la compassion en action dans chacun de actes pour le plus grand bien de tous, il n’agit pas seul, mais « avec ». Pour ce modèle du « bouddhiste » pour la Voie de la Grandeur, il ne s’agit pas tant d’être un « grand méditant », un « bon élève » mais un acteur du changement concret pour aider les êtres vivants.
Zem est publié toutes les semaines sur le portail international du bouddhisme :Buddhachannel
dimanche, mai 8 2011
Par frederic baylot le dimanche, mai 8 2011, 12:11 - Dharma
mercredi, mai 4 2011
Par frederic baylot le mercredi, mai 4 2011, 17:20 - Dharma
via Le blog zen - Des nouvelles du Maine.
(extraits, lire l'article intégral )
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Recevoir les préceptes [de bodhisattva] (le pratiquant du Grand Véhicule, je préfère dire le disciple de la Grandeur), reste à mes yeux, un outil puissant dans cette voie.
Vivre en bodhisattva n’a rien à voir avec participer à un groupe de méditation, écouter les leçons d’un enseignant, ou ce genre de choses. L’ordination ne signe pas l’appartenance à un groupe ou une association. S’engager dans ce chemin implique une volonté inébranlable à ne plus se laisser guider par les compromis, les faux-semblants, à renoncer à négocier avec ses propres mesquineries, à délaisser la séduction et la peur. Le bodhisattva s’engage à prendre soin du monde, non dans les salons mais dans la boue. Il n’aura jamais de diplôme ou de reconnaissance. Le chemin est nécessairement éprouvant et périlleux. Celui qui s’y risque ne pourra plus vivre comme à l’ordinaire.
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