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S’il n’y a plus d’attachement à l’ego, il n’y a plus de culpabilité, seulement de la responsabilité, plus d’imperfection, seulement de l’authenticité à accepter ce qui est et changer ce qui est possible.
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vendredi, juin 24 2011
Par frederic baylot le vendredi, juin 24 2011, 01:38 - Zem
dimanche, mai 29 2011
Par frederic baylot le dimanche, mai 29 2011, 04:10 - Sûtra du Coeur
Le Sûtra du coeur commence par nommer un personnage, il s’agit du « Maître en contemplation »
C’est Avalokiteshvara. Avalokitesh, veut dire « celui qui regarde vers le bas, qui écoute la souffrance des êtres » et svara c’est « le dieu créateur, le Seigneur ». (dans les enseignements occulte hindous et yoguiques, svara est le « courant de la vague de vie » , « Les Forces Subtiles de la Nature » ). On peut donc traduire par Celui qui maîtrise la contemplation. » (1) On pourrait aussi dire celui qui regarde le courant de la vie, comment le regarde-t-il ? Par la contemplation, la méditation.
mardi, mai 24 2011
Par frederic baylot le mardi, mai 24 2011, 02:40 - JOIE
Notre faculté à être heureux dépend de trois parties :
mercredi, mai 18 2011
Par frederic baylot le mercredi, mai 18 2011, 18:01
Via Nouvelles Clés
Chronique de Denis Marquet magazine « clés »
Le mot victime recouvre une réalité : si on me vole ou m’assassine, je suis la victime d’un délit ou d’un crime. En m’attribuant cette notion, qui appartient à la sphère juridique, la société m’offre une triple reconnaissance : d’abord que je souffre ; ensuite, que je ne suis pas responsable de mes souffrances ; enfin, qu’un tiers en est responsable et me doit réparation. Nécessaire dans le domaine juridique, ce concept devient dangereux appliqué au domaine psychologique. N’avons-nous pas tous tendance, consciemment ou non, à nous poser en victime ? Car nous pouvons en attendre un triple bénéfice, qui est en réalité une triple impasse.